de la justice restaurative !

A la Fac de Droit

L’Association Arc-en-ciel d’Accueil des Familles à la Maison d’arrêt de Douai,

L’Association Nationale des Visiteurs de Prisons,

L’Aumônerie Catholique,

Le Secours Catholique

 

Ont le plaisir de vous inviter à la soirée-débat autour du thème  :

 

« La Prison, une réalité aux conséquences douloureuses pour les victimes et pour les familles des personnes incarcérées »

                                                                                                  

Le Jeudi 29 Novembre 2018 à 20h00 à la Faculté de Droit de Douai

Avec

     Valérie DECROIX, "Directrice Interrégionale des services pénitentiaires" des Hauts de France.,

Ronan PALARIC, docteur en psychologie, référent ARCA Hauts de France

qui œuvre pour le dialogue entre les victimes et les auteurs dans le cadre de la Justice Restaurative

 

Contact : tél : 06 35 14 10 83 – courriel : arcenciel592@gmail.com

 

 

La justice pénale, dans l’idéal, sert à la reconstruction d’un contrat social qui a été mis à mal, à un moment donné, par le comportement ou l’action d’une personne.

En fonction des différentes réformes intervenues depuis 1945, l’idée de base est que la justice n’est pas uniquement un outil de répression mais qu’elle doit participer à l’insertion des individus. A partir de là, quelques mesures ont été mises en place avec des résultats quelque peu mitigés : ce sont les différentes peines alternatives : le sursis avec mise à l’épreuve (SME), le Bracelet électronique, les Travaux d’intérêt général (TIG), etc… et depuis la loi pénitentiaire du 15 août 2014, relative à l’individualisation des peines, la Contrainte pénale qui a malheureusement été peu  appliquée en raison de son manque de clarté qui, aux yeux des juges, paraissait peu différente du SME mais également surtout par la difficulté à assurer le suivi nécessaire qui incombait aux Services Pénitentiaires de Probation et d’Insertion (SPIP) déjà trop débordés en raison du manque d’effectifs.

A côté de tout cela certaines mesures d’insertions sont proposées en fin d’incarcération par des associations telles que l’Ilôt, la Ferme de Moyenbrie, etc..

Une nouvelle orientation est prise actuellement par ce qui a été appelé la Justice restaurative notamment développée à partir des associations de défense et d’aide aux victimes telle que

l’INAVEM (Institut national d’aide aux victimes et de médiation)  et l’ARCA.

Article publié par Michel Masclet • Publié le Lundi 19 novembre 2018 - 17h12 • 381 visites

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