13 fév
Nous entrons en carême. Nous avons brulé nos buis, signe de la présence du Christ dans nos maisons. Nous reconnaissons, par ce geste, que notre péché a éloigné Dieu de nos maisons. Et nous nous tournons vers l’Église qui nous accueille en ce mercredi des Cendres.
Jésus est là au pied de l’autel. Il met sa main sur notre épaule et nous invite à cheminer avec Lui. Notre âme est comme un arbre mort, un chemin de pierre et nous ne savons pas comment nous en sortir ! Mais il y a aussi un masque, une jarre d’eau, un linge, une cuve baptismale.
Suivons la catéchèse du Père André.
A sa demande William s’est couvert de cendres comme les prophètes de l’ancien testament. Il manifeste le péché du peuple, de chacun d’entre nous. Mais comment retrouver le beau visage de William ?
Le père André nous pose la question : Comment retrouver notre beau visage ? Devons-nous nous cacher derrière un masque impersonnel qui coupe toute communication avec Dieu et avec les hommes ?
Non disent les enfants
Doit-on se faire une nouvelle personnalité derrière un autre visage ? Un visage emprunté pour essayer de se faire valoir ?
Non disent les enfants
Alors, le père Merville nous invite à nous laver dans l’eau de notre baptême.
Venons vers le Seigneur. Prenons ce temps de carême pour vous approcher d’un prêtre. Venons lui confier notre part de lumière et notre part d’ombre. Laissons le prêtre frotter et laver nos manques d’amour et retrouvons notre visage de ressuscité pour aller vers Pâques.
Merci à William qui a joué le jeu !!! Et au Père Merville pour cette merveilleuse catéchèse.
Brigitte MOLARO