Afin de mieux cerner le sens que peut revêtir le sacerdoce, je vous propose de distinguer dans un premier propos : le sacerdoce commun à chacun des fidèles, du sacerdoce des prêtres ordonnés à la suite du CHRIST pour que tout hommes puisse participer à la perfection d’amour voulue et donnée par DIEU.
Dans le Livre de l’Exode (chapitre 18), Jéthro, prêtre de Madian, qui n’est pas juif, même s’il est le beau-père de Moïse, qui lui donne le conseil d’appeler autour de lui des anciens, des sages d’expérience et des notables .Lorsque Moïse le rencontre, dans le désert. Après l’avoir vu occupé, toute la journée, à trancher les innombrables différends, inévitables entre les membres d’un groupe humain, Jéthro recommande à son gendre de faire juger les cas mineurs « par des hommes de valeur, craignant Dieu, dignes de confiance et incorruptibles. » Quant à Moïse, il restera le juge des affaires importantes et le médiateur entre Dieu et le Peuple. « Emploie-toi personnellement devant Dieu pour le Peuple et porte-lui leurs litiges. » (Exode 18. 19) Ce n’est donc pas une simple sagesse humaine qui déterminera la décision, c’est aussi avec Dieu qu’elle doit être prise. Si nous continuons à comparer les deux scènes du Livre de l’Exode 18 et du Livre des Nombres 11, nous relevons que, dans le second cas , la désignation s’accompagne d’un transfert d’esprit. Dieu ordonne. Moïse choisit. Dieu répand l’Esprit qui reposait d’abord sur Moïse seul : « Je prendrai de l’esprit qui est sur toi, pour le mettre sur eux. » (Nombres 11. 17) La suite de la scène montre bien que cet « esprit » n’est pas seulement la force d’âme personnelle de Moïse. C’est un « esprit » qui vient de Dieu, puisque Moïse n’a d’autre espérance que de voir « le Seigneur mettre son esprit » sur tous. Notre regard est invinciblement attiré vers la Nouvelle Alliance, la plénitude de l’Alliance, où tout le Peuple sera prophète, de même que Dieu l’a appelé pour qu’il soit « un royaume de prêtres et une nation sainte. » (Exode 19. 6) Saint Pierre développe cela : »Pour constituer une communauté sacerdotale. » (2ème lettre de Pierre. 2. 5 et ss) Tous nous pouvons parler à DIEU par la prière, parler de DIEU en partageant à nos frères les attentes et les soucis de chacun et en recevant de DIEU d’encourager la vie selon son désir inscrit dans la création. Tous nous pouvons recevoir de DIEU la capacité de mettre en œuvre notre baptême en vivant de sa Vie. C’est cela le sacerdoce baptismal . Tous nous avons a rendre grâce a DIEU, par une vie qui participe à son désir exprimé dans l’acte créateur.
Dans la lettre aux Hébreux 7; apparaît un autre type de sacerdoce qui s’apparente à celui du CHRIST ; le sacerdoce ministériel ; conféré aux prêtres par l’ordination.
St PAUL rappelle Melkisédeq, roi de Salem, prêtre du Dieu Très-Haut, est allé à la rencontre d'Abraham, et l'a béni. C'est à lui qu'Abraham remit la dîme de tout. D'abord, il porte un nom qui se traduit " roi de justice " , et ensuite, il est aussi roi de Salem, c'est-à-dire roi de paix. Lui qui n'a ni père, ni mère, ni généalogie, ni commencement pour ses jours, ni fin pour sa vie, mais qui est assimilé au Fils de Dieu reste prêtre à perpétuité. Si on était parvenu à un parfait accomplissement par le sacerdoce lévitique, car il était la base de la législation donnée au peuple, quel besoin y aurait-il eu encore de susciter un autre prêtre, dans la ligne de Melkisédeq, au lieu de le désigner dans la ligne d'Aaron ? Car un changement de sacerdoce entraîne forcément un changement de loi. Et celui que vise le texte cité fait partie d'une tribu dont aucun membre n'a été affecté au service de l'autel. Il est notoire, en effet, que notre Seigneur est issu de Juda, Et l'évidence est plus grande encore si l'autre prêtre suscité ressemble à Melkisédeq, et n'accède pas à la prêtrise en vertu d'une loi de filiation humaine, mais en vertu de la puissance d'une vie indestructible.
« Tu es prêtre pour l'éternité … », c'est d'une meilleure alliance que Jésus est devenu le garant. Lui, qui demeure pour l'éternité, possède un sacerdoce exclusif. Et c'est pourquoi il est en mesure de sauver d'une manière définitive ceux qui, par lui, s'approchent de Dieu, puisqu'il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Et tel est bien le grand prêtre qui nous convenait, saint, innocent, immaculé, séparé des pécheurs, élevé au-dessus des cieux. Il n'a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple. Cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même, menant toute la création au parfait accomplissement
Le Seigneur Jésus, "que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde" Jn 10,36, fait participer tout son Corps Mystique à l'onction de l'Esprit qu'il a reçue: en lui, tous les chrétiens deviennent un sacerdoce saint et royal, offrant des sacrifices spirituels à Dieu par Jésus Christ, et proclament les hauts faits de celui qui les a appelés des ténèbres à son admirable lumière. Il n'y a donc aucun membre qui n'ait sa part dans la mission du Corps tout entier ; chacun d'eux doit sanctifier Jésus dans son coeur) et rendre témoignage à Jésus par l'esprit de prophétie.
Mais le même Seigneur voulant faire des chrétiens un seul corps, où "tous les membres n'ont pas la même fonction" Rm 12,4 a établi parmi eux des ministres qui, dans la communauté des chrétiens, seraient investis par l'Ordre du pouvoir sacré d'offrir le Sacrifice et de remettre les péchés, et y exerceraient publiquement pour les hommes au nom du Christ la fonction sacerdotale. C'est ainsi que le Christ a envoyé ses apôtres comme lui même avait été envoyé par le Père ; puis, par les apôtres eux mêmes il a fait participer à sa consécration et à sa mission les évêques, leurs successeurs, dont la fonction ministérielle a été transmise aux prêtres à un degré subordonné : ceux ci sont donc établis dans l'ordre du presbytérat pour être des coopérateurs avisés de l'Ordre épiscopal dans l'accomplissement de la mission apostolique confiée par le Christ.
La fonction des prêtres, en tant qu'elle est unie à l'Ordre épiscopal, participe à l'autorité par laquelle le Christ lui-même construit, sanctifie et gouverne son Corps. C'est pourquoi le sacerdoce des prêtres, est conféré au moyen du sacrement particulier qui, par l'onction du Saint Esprit, les marque d'un caractère spécial, et les configure ainsi au Christ Prêtre pour les rendre capables d'agir au nom du Christ Tête en personne
Participant pour leur part, à la fonction des apôtres, les prêtres reçoivent de Dieu la grâce qui les fait ministres du Christ Jésus auprès des nations, assurant le service sacré de l'Évangile, pour que les nations deviennent une offrande agréable, sanctifiée par l'Esprit Saint. En effet, l'annonce apostolique de l'Évangile convoque et rassemble le peuple de Dieu, afin que tous les membres de ce peuple étant sanctifiés par l'Esprit Saint, s'offrent eux mêmes en "victime vivante, sainte, agréable à Dieu Rm 12,1. Mais c'est par le ministère des prêtres que se consomme le sacrifice spirituel des chrétiens en union avec le sacrifice du Christ, unique Médiateur, offert au nom de toute l'Église dans l'Eucharistie par les mains des prêtres, de manière non sanglante et sacramentelle, jusqu'à ce que vienne le Seigneur lui-même. C'est là qu'aboutit leur ministère, c'est là qu'il trouve son accomplissement : commençant par l'annonce de l'Évangile, il tire sa force et sa puissance du sacrifice du Christ et il aboutit à ce que "la cité rachetée tout entière, c'est-à-dire la société et l'assemblée des saints, soit offerte à Dieu comme un sacrifice universel par le Grand Prêtre qui est allé jusqu'à s'offrir pour nous dans sa passion, pour faire de nous le Corps d'une si Grande Tête".
Ainsi donc, la fin que les prêtres poursuivent dans leur ministère , c'est l'action de grâce à Dieu le Père dans le Christ. Et cette gloire, c'est l'accueil, conscient, libre et reconnaissant, des hommes à l'oeuvre de Dieu accomplie dans le Christ ; c'est le rayonnement de cette oeuvre à travers toute leur vie.
Les prêtres ont à reconnaître sincèrement et à faire progresser la dignité des laïcs et leur rôle propre dans la mission de l'Église. Ils doivent respecter loyalement la juste liberté à laquelle tous ont droit dans la cité terrestre. Ils doivent écouter volontiers les laïcs, tenir compte fraternellement de leurs désirs, reconnaître leur expérience et leur compétence dans les différents domaines de l'activité humaine, pour pouvoir avec eux lire les signes des temps. Éprouvant les esprits pour savoir s'ils sont de Dieu, ils découvriront et discerneront dans la foi les charismes des laïcs sous toutes leurs formes, des plus modestes aux plus élevées, ils les reconnaîtront avec joie et les développeront avec ardeur. Il faut également avoir assez de confiance dans les laïcs pour leur remettre des charges au service de l'Église, leur laissant la liberté et la marge d'action, bien plus, en les invitant quand l'occasion se présente, à prendre d'eux-mêmes des initiatives.
Dans le Livre de l’Exode (chapitre 18), Jéthro, prêtre de Madian, qui n’est pas juif, même s’il est le beau-père de Moïse, qui lui donne le conseil d’appeler autour de lui des anciens, des sages d’expérience et des notables .Lorsque Moïse le rencontre, dans le désert. Après l’avoir vu occupé, toute la journée, à trancher les innombrables différends, inévitables entre les membres d’un groupe humain, Jéthro recommande à son gendre de faire juger les cas mineurs « par des hommes de valeur, craignant Dieu, dignes de confiance et incorruptibles. » Quant à Moïse, il restera le juge des affaires importantes et le médiateur entre Dieu et le Peuple. « Emploie-toi personnellement devant Dieu pour le Peuple et porte-lui leurs litiges. » (Exode 18. 19) Ce n’est donc pas une simple sagesse humaine qui déterminera la décision, c’est aussi avec Dieu qu’elle doit être prise. Si nous continuons à comparer les deux scènes du Livre de l’Exode 18 et du Livre des Nombres 11, nous relevons que, dans le second cas , la désignation s’accompagne d’un transfert d’esprit. Dieu ordonne. Moïse choisit. Dieu répand l’Esprit qui reposait d’abord sur Moïse seul : « Je prendrai de l’esprit qui est sur toi, pour le mettre sur eux. » (Nombres 11. 17) La suite de la scène montre bien que cet « esprit » n’est pas seulement la force d’âme personnelle de Moïse. C’est un « esprit » qui vient de Dieu, puisque Moïse n’a d’autre espérance que de voir « le Seigneur mettre son esprit » sur tous. Notre regard est invinciblement attiré vers la Nouvelle Alliance, la plénitude de l’Alliance, où tout le Peuple sera prophète, de même que Dieu l’a appelé pour qu’il soit « un royaume de prêtres et une nation sainte. » (Exode 19. 6) Saint Pierre développe cela : »Pour constituer une communauté sacerdotale. » (2ème lettre de Pierre. 2. 5 et ss) Tous nous pouvons parler à DIEU par la prière, parler de DIEU en partageant à nos frères les attentes et les soucis de chacun et en recevant de DIEU d’encourager la vie selon son désir inscrit dans la création. Tous nous pouvons recevoir de DIEU la capacité de mettre en œuvre notre baptême en vivant de sa Vie. C’est cela le sacerdoce baptismal . Tous nous avons a rendre grâce a DIEU, par une vie qui participe à son désir exprimé dans l’acte créateur.
Dans la lettre aux Hébreux 7; apparaît un autre type de sacerdoce qui s’apparente à celui du CHRIST ; le sacerdoce ministériel ; conféré aux prêtres par l’ordination.
St PAUL rappelle Melkisédeq, roi de Salem, prêtre du Dieu Très-Haut, est allé à la rencontre d'Abraham, et l'a béni. C'est à lui qu'Abraham remit la dîme de tout. D'abord, il porte un nom qui se traduit " roi de justice " , et ensuite, il est aussi roi de Salem, c'est-à-dire roi de paix. Lui qui n'a ni père, ni mère, ni généalogie, ni commencement pour ses jours, ni fin pour sa vie, mais qui est assimilé au Fils de Dieu reste prêtre à perpétuité. Si on était parvenu à un parfait accomplissement par le sacerdoce lévitique, car il était la base de la législation donnée au peuple, quel besoin y aurait-il eu encore de susciter un autre prêtre, dans la ligne de Melkisédeq, au lieu de le désigner dans la ligne d'Aaron ? Car un changement de sacerdoce entraîne forcément un changement de loi. Et celui que vise le texte cité fait partie d'une tribu dont aucun membre n'a été affecté au service de l'autel. Il est notoire, en effet, que notre Seigneur est issu de Juda, Et l'évidence est plus grande encore si l'autre prêtre suscité ressemble à Melkisédeq, et n'accède pas à la prêtrise en vertu d'une loi de filiation humaine, mais en vertu de la puissance d'une vie indestructible.
« Tu es prêtre pour l'éternité … », c'est d'une meilleure alliance que Jésus est devenu le garant. Lui, qui demeure pour l'éternité, possède un sacerdoce exclusif. Et c'est pourquoi il est en mesure de sauver d'une manière définitive ceux qui, par lui, s'approchent de Dieu, puisqu'il est toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Et tel est bien le grand prêtre qui nous convenait, saint, innocent, immaculé, séparé des pécheurs, élevé au-dessus des cieux. Il n'a pas besoin, comme les autres grands prêtres, d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple. Cela, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même, menant toute la création au parfait accomplissement
Le Seigneur Jésus, "que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde" Jn 10,36, fait participer tout son Corps Mystique à l'onction de l'Esprit qu'il a reçue: en lui, tous les chrétiens deviennent un sacerdoce saint et royal, offrant des sacrifices spirituels à Dieu par Jésus Christ, et proclament les hauts faits de celui qui les a appelés des ténèbres à son admirable lumière. Il n'y a donc aucun membre qui n'ait sa part dans la mission du Corps tout entier ; chacun d'eux doit sanctifier Jésus dans son coeur) et rendre témoignage à Jésus par l'esprit de prophétie.
Mais le même Seigneur voulant faire des chrétiens un seul corps, où "tous les membres n'ont pas la même fonction" Rm 12,4 a établi parmi eux des ministres qui, dans la communauté des chrétiens, seraient investis par l'Ordre du pouvoir sacré d'offrir le Sacrifice et de remettre les péchés, et y exerceraient publiquement pour les hommes au nom du Christ la fonction sacerdotale. C'est ainsi que le Christ a envoyé ses apôtres comme lui même avait été envoyé par le Père ; puis, par les apôtres eux mêmes il a fait participer à sa consécration et à sa mission les évêques, leurs successeurs, dont la fonction ministérielle a été transmise aux prêtres à un degré subordonné : ceux ci sont donc établis dans l'ordre du presbytérat pour être des coopérateurs avisés de l'Ordre épiscopal dans l'accomplissement de la mission apostolique confiée par le Christ.
La fonction des prêtres, en tant qu'elle est unie à l'Ordre épiscopal, participe à l'autorité par laquelle le Christ lui-même construit, sanctifie et gouverne son Corps. C'est pourquoi le sacerdoce des prêtres, est conféré au moyen du sacrement particulier qui, par l'onction du Saint Esprit, les marque d'un caractère spécial, et les configure ainsi au Christ Prêtre pour les rendre capables d'agir au nom du Christ Tête en personne
Participant pour leur part, à la fonction des apôtres, les prêtres reçoivent de Dieu la grâce qui les fait ministres du Christ Jésus auprès des nations, assurant le service sacré de l'Évangile, pour que les nations deviennent une offrande agréable, sanctifiée par l'Esprit Saint. En effet, l'annonce apostolique de l'Évangile convoque et rassemble le peuple de Dieu, afin que tous les membres de ce peuple étant sanctifiés par l'Esprit Saint, s'offrent eux mêmes en "victime vivante, sainte, agréable à Dieu Rm 12,1. Mais c'est par le ministère des prêtres que se consomme le sacrifice spirituel des chrétiens en union avec le sacrifice du Christ, unique Médiateur, offert au nom de toute l'Église dans l'Eucharistie par les mains des prêtres, de manière non sanglante et sacramentelle, jusqu'à ce que vienne le Seigneur lui-même. C'est là qu'aboutit leur ministère, c'est là qu'il trouve son accomplissement : commençant par l'annonce de l'Évangile, il tire sa force et sa puissance du sacrifice du Christ et il aboutit à ce que "la cité rachetée tout entière, c'est-à-dire la société et l'assemblée des saints, soit offerte à Dieu comme un sacrifice universel par le Grand Prêtre qui est allé jusqu'à s'offrir pour nous dans sa passion, pour faire de nous le Corps d'une si Grande Tête".
Ainsi donc, la fin que les prêtres poursuivent dans leur ministère , c'est l'action de grâce à Dieu le Père dans le Christ. Et cette gloire, c'est l'accueil, conscient, libre et reconnaissant, des hommes à l'oeuvre de Dieu accomplie dans le Christ ; c'est le rayonnement de cette oeuvre à travers toute leur vie.
Les prêtres ont à reconnaître sincèrement et à faire progresser la dignité des laïcs et leur rôle propre dans la mission de l'Église. Ils doivent respecter loyalement la juste liberté à laquelle tous ont droit dans la cité terrestre. Ils doivent écouter volontiers les laïcs, tenir compte fraternellement de leurs désirs, reconnaître leur expérience et leur compétence dans les différents domaines de l'activité humaine, pour pouvoir avec eux lire les signes des temps. Éprouvant les esprits pour savoir s'ils sont de Dieu, ils découvriront et discerneront dans la foi les charismes des laïcs sous toutes leurs formes, des plus modestes aux plus élevées, ils les reconnaîtront avec joie et les développeront avec ardeur. Il faut également avoir assez de confiance dans les laïcs pour leur remettre des charges au service de l'Église, leur laissant la liberté et la marge d'action, bien plus, en les invitant quand l'occasion se présente, à prendre d'eux-mêmes des initiatives.
Bref les prêtres sont placés au milieu des laïcs pour les conduire tous, à l'unité dans l'amour " s'aimant les uns les autres d'un amour fraternel, rivalisant d'égards entre eux " Rm 12,10. Ils ont donc à rapprocher les mentalités différentes, de telle manière que personne ne se sente étranger dans la communauté des chrétiens. Ils sont défenseurs du bien commun.
Ainsi donc puissions nous dans la diversité de nos vocations, participer de l'unique salut gagné et offert en JÉSUS CHRIST .
Mes propos sont principalement inspirés de la constitution conciliaire PRESBYTERORUM ORDINIS, et de l'épître aux Hébreux.