De Jean-Paul II, « tous, nous avons reçu grâce après grâce », pourrions-nous dire aujourd’hui avec saint Jean (1-16). Les témoignages que vous nous avez envoyés le confirment ; nous en publions une série de cinq. Ici, celui de Dominique, que le courage du Saint-Père dans sa maladie a rendue étonnamment forte à son tour…
« Épouse et mère de trois enfants, j’ai connu un bouleversement dans ma vie en 2001 : le divorce, épreuve sans nom qui m’a néanmoins permis de vivre en Dieu la fidélité à mon sacrement de mariage. Le jugement prononcé en janvier 2005, après quatre ans de procédures douloureuses, augurait de pouvoir lentement remonter la pente avec l’aide de Dieu.
En septembre de la même année j’apprends que je suis atteinte par un cancer du sein.
On ne s’habitue pas aux épreuves mais l’amitié avec Dieu permet de les vivre avec plus de sérénité et d’Espérance. Et aussi de les regarder et de les analyser sous Son regard, c’est-à-dire dans l’optique de la vie éternelle et non avec nos limites humaines.
Sa force dans la maladie me gardait dans l’Espérance
Le souvenir de la longue maladie assumée avec courage, force et foi par notre défunt pape me portait et me gardait dans l’Espérance. Aussi décidai-je de proposer à mes amis une neuvaine de prière avant mon opération. Opérée un mercredi je suis sortie de l’hôpital trois jours après et dix jours plus tard je reprenais mon travail.
Je gardais sans cesse en mémoire combien Jean-Paul II, qui paraissait si faible dans sa maladie, était en fait fort de la puissance de Dieu qu’il laissait agir en lui pour aller au bout de sa mission.
J’ai demandé au Ciel de me combler de cette même force qui ne m’a jamais quittée et qui, je crois, agit encore aujourd’hui.
Cette épreuve assumée avec l’aide de Dieu et de Jean-Paul II a été une source de conversion et de joie de vivre incroyable. Elle m’a permis rapidement de rebondir dans ma vie professionnelle de façon quasi miraculeuse.
J’ai été opérée de ce cancer il y a maintenant cinq ans et demi et je suis en pleine forme.
Ce que je garde présent de l’intercession de Jean-Paul II, c’est bien cette force dont il témoignait, et qui anime chacune de mes journées.
Ma vie est aujourd’hui une action de grâces et c’est cette raison qui me fait témoigner. »
« Épouse et mère de trois enfants, j’ai connu un bouleversement dans ma vie en 2001 : le divorce, épreuve sans nom qui m’a néanmoins permis de vivre en Dieu la fidélité à mon sacrement de mariage. Le jugement prononcé en janvier 2005, après quatre ans de procédures douloureuses, augurait de pouvoir lentement remonter la pente avec l’aide de Dieu.
En septembre de la même année j’apprends que je suis atteinte par un cancer du sein.
On ne s’habitue pas aux épreuves mais l’amitié avec Dieu permet de les vivre avec plus de sérénité et d’Espérance. Et aussi de les regarder et de les analyser sous Son regard, c’est-à-dire dans l’optique de la vie éternelle et non avec nos limites humaines.
Sa force dans la maladie me gardait dans l’Espérance
Le souvenir de la longue maladie assumée avec courage, force et foi par notre défunt pape me portait et me gardait dans l’Espérance. Aussi décidai-je de proposer à mes amis une neuvaine de prière avant mon opération. Opérée un mercredi je suis sortie de l’hôpital trois jours après et dix jours plus tard je reprenais mon travail.
Je gardais sans cesse en mémoire combien Jean-Paul II, qui paraissait si faible dans sa maladie, était en fait fort de la puissance de Dieu qu’il laissait agir en lui pour aller au bout de sa mission.
J’ai demandé au Ciel de me combler de cette même force qui ne m’a jamais quittée et qui, je crois, agit encore aujourd’hui.
Cette épreuve assumée avec l’aide de Dieu et de Jean-Paul II a été une source de conversion et de joie de vivre incroyable. Elle m’a permis rapidement de rebondir dans ma vie professionnelle de façon quasi miraculeuse.
J’ai été opérée de ce cancer il y a maintenant cinq ans et demi et je suis en pleine forme.
Ce que je garde présent de l’intercession de Jean-Paul II, c’est bien cette force dont il témoignait, et qui anime chacune de mes journées.
Ma vie est aujourd’hui une action de grâces et c’est cette raison qui me fait témoigner. »
Dominique