Sept clés du trousseau vont nous permettre d’ouvrir sept portes, une par jour de cette Semaine Sainte qui commence, pour comprendre l’amour du cœur de Jésus…
Ces sept clés pour ouvrir les sept portes de l’amour du cœur de Jésus, pour nous, pendant sa passion :
- L’amour du cœur de Jésus est un amour humble
- L’amour du cœur de Jésus est un amour libre
- L’amour du cœur de Jésus est un amour passionné
- L’amour du cœur de Jésus est un amour volontaire
- L’amour du cœur de Jésus est un amour vulnérable
- L’amour du cœur de jésus est un amour miséricordieux
- L’amour du cœur de Jésus est un amour divin.
Jésus n’a pas revendiqué d’être traité comme l’égal de Dieu alors qu’il l’aurait pu, il s’est dépouillé pour devenir un homme ordinaire, pour épouser notre humanité.
Jésus n’était pas obligé de nous sauver puisque nous avions fermé la porte de notre cœur. Jésus avait été chassé de Jérusalem, il n’était pas obligé d’y revenir, ni de monter au Mont des Oliviers. C’est librement qu’il vient à Jérusalem pour la Pâque, c’est librement qu’il fait le choix de nous sauver. La liberté divine dépasse toute liberté.
Jésus a le cœur enflammé, fervent ; Il nous révèle un amour éternel que la mort ne peut pas briser. La messe est le rappel de cet amour qu’on ne pourra plus éteindre. Venons chaque semaine entendre comme nous sommes précieux, précieuses pour le Seigneur !
Ce n’est pas seulement dans sa chair que Jésus souffre, c’est dans son cœur qu’il souffre, le mensonge le blesse ; dire le contraire de la vérité le blesse.
Le larron crucifié à côté de Jésus fait cette découverte de l’amour miséricordieux : Jésus visite chacun de nous au plus profond de sa défaite, de sa culpabilité. Si Jésus n’était pas mort, je ne serais pas sauvé et toutes les conquêtes faites par les hommes ne serviraient à rien car elles ne nous sauveraient pas.
Cet amour dépasse tout ce que je peux imaginer. Nous ne voyons pas notre mal, c’est l’amour de Dieu qui mesure notre péché. Que sommes-nous devant la majesté de la création ? Que suis-je, moi, devant cette splendeur ? C’est la démesure de l’amour de Dieu, la proportion incroyable de son amour par rapport à mon amour qui nous est révélée. Durant cette semaine sainte, abandons-nous à cet amour qui nous dépasse.
Et il y a une huitième clé au trousseau : nous sommes précieux pour le Seigneur, ne bricolons pas notre vie !
Ces sept clés pour ouvrir les sept portes de l’amour du cœur de Jésus, pour nous, pendant sa passion :
- L’amour du cœur de Jésus est un amour humble
- L’amour du cœur de Jésus est un amour libre
- L’amour du cœur de Jésus est un amour passionné
- L’amour du cœur de Jésus est un amour volontaire
- L’amour du cœur de Jésus est un amour vulnérable
- L’amour du cœur de jésus est un amour miséricordieux
- L’amour du cœur de Jésus est un amour divin.
1) Un amour humble :
Jésus n’a pas revendiqué d’être traité comme l’égal de Dieu alors qu’il l’aurait pu, il s’est dépouillé pour devenir un homme ordinaire, pour épouser notre humanité.
2) Un amour libre :
Jésus n’était pas obligé de nous sauver puisque nous avions fermé la porte de notre cœur. Jésus avait été chassé de Jérusalem, il n’était pas obligé d’y revenir, ni de monter au Mont des Oliviers. C’est librement qu’il vient à Jérusalem pour la Pâque, c’est librement qu’il fait le choix de nous sauver. La liberté divine dépasse toute liberté.
3) Un amour passionné :
Jésus a le cœur enflammé, fervent ; Il nous révèle un amour éternel que la mort ne peut pas briser. La messe est le rappel de cet amour qu’on ne pourra plus éteindre. Venons chaque semaine entendre comme nous sommes précieux, précieuses pour le Seigneur !
4) Un amour volontaire :
C’est un combat contre le mal, le péché, qui se livre dans le cœur de Jésus. Jésus a horreur du mal, il le combat de toutes ses forces… « Je veux faire Ta volonté, aller jusqu’au bout » Ce « jusqu’au bout » entraîne la clé suivante.
5) Un amour vulnérable :
Ce n’est pas seulement dans sa chair que Jésus souffre, c’est dans son cœur qu’il souffre, le mensonge le blesse ; dire le contraire de la vérité le blesse.
6) Un amour miséricordieux :
Le larron crucifié à côté de Jésus fait cette découverte de l’amour miséricordieux : Jésus visite chacun de nous au plus profond de sa défaite, de sa culpabilité. Si Jésus n’était pas mort, je ne serais pas sauvé et toutes les conquêtes faites par les hommes ne serviraient à rien car elles ne nous sauveraient pas.
7) Un amour divin :
Cet amour dépasse tout ce que je peux imaginer. Nous ne voyons pas notre mal, c’est l’amour de Dieu qui mesure notre péché. Que sommes-nous devant la majesté de la création ? Que suis-je, moi, devant cette splendeur ? C’est la démesure de l’amour de Dieu, la proportion incroyable de son amour par rapport à mon amour qui nous est révélée. Durant cette semaine sainte, abandons-nous à cet amour qui nous dépasse.
Et il y a une huitième clé au trousseau : nous sommes précieux pour le Seigneur, ne bricolons pas notre vie !
Article publié par Lundi 29 mars 2010 •
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